Sucre et La Paz se font une guerre très bête, chacune revendicant le titre de capitale. Dans la Constitution il s'agit de Sucre, ville blanche et riche du pays, mais désormais tout le pouvoir siège à La Paz où gouverne Evo Morales, premier président indigène du pays.
En Bolivie, deux groupes clairement définis sont plus ou moins en friction: les "blancs" et les indigènes, pauvres très souvent, 80% de la population.
A l heure où nous étions en Bolivie, les habitants se préparaient à adopter (de justesse, le 25 janvier), un référendum pour adopter une nouvelle Constitution, qui colle au programme du président, "le mouvement vers le socialisme", en faveur des pauvres et de la réforme agraire. La Bolivie est en effet un pays encore bien marqué par le latifundisme et le régime féodal de la possession de la terre. Il y avait d ailleurs beaucoup d'haciendas autour de Sucre.
Voilà pour l'analyse politique! Pour une fois hein!
Le cimetière (tous pareils en Bolivie), des HLM de tombeaux!
Un air de pays basque français
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire